Jules RENARD (1864-1910)
2 L.A.S, 1884, au poète Alphonse LABITTE ; 2 pages demie petit in-8.
CURIEUSES LETTRES À CET EMPLOYÉ DE BANQUE ET POÈTE MOUSTACHU, qui recevait chez lui et chez lequel Renard rencontra Théodore de Banville.
18 soir [août 1884]. Il le remercie pour sa « pièce pleine de réconfort. Mais pour qui ce sursum corda ? Mon envoi n’était pas une confession. Je me crois, pour ma part, à l’abri des influences délétères. Il est des cœurs…… on ne se connaît jamais bien soi-même ; on prétend épeler les autres…. J’observe ; je ne confie pas ». Il fait deux observations critiques sur des corrections à faire : « à critique critique et 1/2 »… 15 novembre 1884. « Les salons se rouvrent et j’y entends de singuliers bruits qui m’ont d’abord paru n’avoir aucun sens. Puis, grâce à l’écho répété, il m’a bien fallu omprendre. C’est maintenant un fait connu, accepté, que vous ne me recevrez plus cet hiver » Il ne peut croire qu’il soit homme à céder ainsi à des influences malsaines : « Ai-je tort ? Si oui, je resterai toujours votre obligé. Si non, un mot de vous et n’en reparlons plus »…
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Expositions publiques : Vendredi 20 mai de 15h à 18h, Samedi 21 mai de 9h à 12h, Dimanche 22 mai de 10h à 12h.
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